Ce dimanche matin je n'avais rien à faire, et d'ailleurs en y ponçant faut que je m'achète de nouveau vêtement car avec ce que j'ai apporté ces pas beaucoup, mais je me demandais s'il avait quelque chose à la mode ici quelque chose comme je suis habitué à porter, ces décider aujourd'hui soit une journée de magasin, je me levai et cherche quelque chose à me m'être chose faite je trouvai une minijupe rouge avec un haut noir un gilet noir et des all stars noires dans mes mains des gants rock n roll et ma chevelure en une queue-de-cheval j'étais fin prête pour les magasins, je manga mon petit déjeuner vite fait je regardai ma montre ces bons il ouvrait dans quelques minutes, jetait exciter j'allais avoir une nouvelle garde-robe en espérant que je tombe sur des modèles assez sexy et à la mode comme je suis habillé là, je pris mes clefs et un peu d'argent et alla direction le magasin bien sûr je vis d'abord le panneau d'indications et parties, une telle minute s'étant écoulée avant que j'arrive à bon port, y avaient moins de gens que la dernière fois, Super me suis-je dite je vais pouvoir faire mes magasins tanquils..

Je laissai mon regard navigué parmi les magasins ouverts et un magasin offrant une réduction de solde attirait mon attention, je décidai d'aller y jeter un coup d'oeil une voix intérieure me disait vas entrer dans ce magasin tu ne vas pas le regretter et comme étant habitué à me fier à mon instin je décide d'y pénétrer et commençai à regarder parmi les rayons de vêtements ses trouvant dans ce lieu, je trouve un tel article très intéressant un sourire de satisfaction et de joie se fit voir sur mes lèvres pulpeuses ...

*Grrr, Alice !!* pestais-je intérieurement ce matin là en voyant, encore, de nouveau vêtement dans mon dressing. Outre la furie acheteuse de ma belle sœur ce qui me gênait le plus était qu’à chaque fois qu’elle ajoutait de nouvelle chose dans ma garde robe Alice se sentait obligé d’en retirer les jeans, survêtements, et autre articles confortables, mais pas spécialement très esthétique à regarder, que je gardais précieusement hors de sa vue mais qu’elle arrivait à retrouver à chaque fois.

*Il va falloir que j’aille faire les boutiques si je veux me retrouver des vêtements à peut près mettable…* pensais-je alors que déjà, horrifié par l’idée de me rendre au centre commercial, un soupir m’échappait. Cependant je crois que je n’avais pas le choix si je ne voulais pas me retrouver à porter des robes moulantes, des jeans super serrés ou des jupes pour le restant de mes jours, ce qui au vue de mon immortalité acquise s’annoncerait horriblement long.

Edward étant parti chasser je pris un bout de papier et un stylo et écrivait un mot que je laissais par la suite bien en évidence sur la commode dans notre chambre.

Je suis partie faire un tour en ville, je reviendrais très vite, ne te fais surtout pas de soucis. Tu me manques, je t’aime.
Ta Bella.

Renesmée quant à elle passait la journée chez Jacob, je serais donc revenue bien avant elle.

Pendant un instant je pensai prendre une des nombreuses voitures entreposés dans le garage mais très vite je m’enlevai cette idée de la tête, j’allais courir cela me ferait le plus grand bien, inutile de faire une entrée remarquée dans le centre ville avec un des véhicules, tous plus voyants les uns que les autres, des Cullen. Je courrai donc un moment dans la forêt jusqu’à arriver aux lisières de la ville où je repris une allure plus humaine pour me diriger jusqu’au centre commercial. Il y avait très peu de monde, et heureusement, c’était une aubaine pour moi qui détestait au plus haut ne point faire les magasins.

Une boutique semblant proposer des prix intéressant attira mon attention et je m’y rendis donc, espérant de tout cœur que je trouverais mon bonheur rapidement. Les vêtements proposés étaient plutôt à la mode, donc pas vraiment confortable à porter, mais il y avait tout de même quelques jean plutôt large et survêtements qui attirèrent immédiatement mon attention. Un en particulier, se trouvant en haut d’une étagère. Je m’approchais donc et tendis les mains pour l’attraper n’ayant absolument pas remarqué la jeune fille se trouvant juste à côté de moi, jusqu’à ce que je lui donne un coup de coude sans le faire exprès. Inquiète, car je savais que ma force surpassait largement celle d’un simple humain je me retournais vers elle.

-Excusez moi, je suis vraiment désolé je ne vous avez pas vue. Je ne vous ai pas fait trop mal j’espère ?

Une musique douce amplis l'aire du magasin. Étant tellement focalisé sur une robe aux couleurs rouge et noire, je ressentis une violente douleur au bas du dos, un aie se fit entendre dans tout le magasin sans le faire éxpret.
Les yeux fermés, le visage déformé par la douleur, les gens me regardaient tout en me demandant si ça pouvait aller, s'ils peuvent appeler un docteur ou une ambulance .
UN de mes genoux touchaient le sol, ma main gauche toujours sur le dos comme ci ça pouvait stopper la douleur.
J'essayai de me focaliser sur une poncée positive, mais rien n'y fessait la douleur rassemblée à un coup de couteau qu'un voleur vous donne qu'on il vous vole vos biens les plus chaires.
Les clients me redemandaient si ça pouvait aller, jetait incapable de leur répondre. Aucun son ne voulut sortir de ma gorge tellement la douleur se fessa sentir de plus en plus fort.
Je voulut me lever, impossible comme ci un aimant me retint sur place. Mon coeur commença à tamponner dans ma petite poitrine, des idées noires commençait à se dessiner dans mon cerveau.
Les minutes s'écoulent à vue d'oeil. Quant à moi ne s'avant que faire jetait pétrifier de peur, incapable de bouger, incapable d’émettre un son audible, incapable de faire le moindre geste qui soit. En définitive je ne savais pas la source d'où cette douleur pouvait venir.

La panique ma gagna petit à petit lorsque la jeune femme que je venais de percuter sans le faire exprès poussa un grand cri de douleur qui s’entendit dans tous le magasin tout en se tenant le dos. Mon premier réflexe fut de vouloir envoyer un message à Carlisle pour qu’il vienne de toute urgence mais je me rappelais bien vite que lui et Esmée étaient partis il y a quelques jours maintenant pour un voyage en amoureux.

Mademoiselle, vous m’entendez ? questionnais-je d’une voix rendu légèrement tremblante par la panique qui m’avait maintenant totalement submergée.

D’autant plus qu’aucune réponse ne me parvint et que la jeune fille, la main crispée sur son dos se laissa tomber au sol. Je la rattrapais de justesse, quelques dixièmes de secondes avant que son genoux ne percute violemment le sol, et l’étendit de tous son long sur le côté prenant garde à se que son dos ne touche pas le sol.

Ça va aller, on va s’occuper de vous. la rassurais-je utilisant une voix douce. La voix qu’une mère pouvait parfois utiliser pour réconforter sa fille.

Physiquement cette adolescente devait avoir à peut près le même âge que Renesmée et le fait d’imaginer ma fille souffrir, comme cette jeune femme semblait souffrir en ce moment m’était insupportable. *Heureusement qu’elle ne saigne pas…*, cette pensée me tétanisa sur place et j’arrêtais immédiatement de respirer, juste au cas où.

Je me rendis d’un pas rapide jusqu’à l’accueil du magasin et m’adressait à la jeune femme qui tenait la caisse et qui elle aussi regardait l’adolescente d’un air très inquiet mais ne semblait pas savoir quoi faire pour l’aider.

Mademoiselle ? Auriez-vous par hasard de la glace, ou du moins quelque chose de froid qui pourrait certainement soulager un peu la douleur de cette jeune fille ? demandais-je.

L’humaine mis quelques secondes à réagir et son regard se porta enfin sur moi. Elle hocha simplement la tête avant de se rendre, d’un pas, pas assez rapide à mon goût, à l’arrière du magasin. Je retournais près de l’adolescente, et songeant que vu la situation je n’avais pas vraiment le choix, posait doucement ma main, glacé, dans son dos pour essayer de l’aider un peu.

Ça vous fait du bien ? demandais-je toujours aussi inquiète pour elle.

La caissière revint quelques secondes plus tard et me tendit une poche de glace ainsi qu’une serviette avant de retourner près de l’accueil. Ne prenant pas la peine de la remercier j’entourais rapidement la poche de glace avec la serviette, pour ne pas qu’elle soit directement en contact avec la peau de la jeune fille, avant de la lui poser délicatement dans le dos espérant de tout mon cœur que ça suffirait à la soulager un peu.